De 10 à 25 cm de diamètre. Très charnuCharnu : Qui comporte beaucoup de chair, dont la chair est épaisse. More, couvert de large lambeaux de voile général et/ ou de flocons verruqueux blancs puis grisâtres. Blanchâtre sur fond beige, parfois jaune pâle à la fin. MargeMarge : Concernant le bulbe. Rebord plus ou moins net que présente le bulbe à sa partie supérieure.
Concernant le chapeau. Bord du chapeau du champignon.
Concernant les lames. Bord libre des lames, on dit plus communément arête. More non striéeStriée : Orné de stries, lignes parallèles définies soit par leur teinte, soit par leur gravure en creux. More, appendiculéeAppendiculée : Muni de un ou plusieurs appendices. (Anneau) La marge semble ornée d'une frange irrégulière. (Cystide) Le sommet s'étire en une portion étroite, semi-individualisée ou se ramifie en plusieurs prolongements. More.

Chair blanche. Saveur et odeur faible.

LamesLames : Feuillet situé à la face inférieure du chapeau d'un grand nombre de champignons. More libresLibres : Concernant les lames. Distante du pied, non soudée à ce dernier. More, serrées, blanches. Arête floconneuse.

Blanc, épais. FloconneuxFloconneux : Semé de flocons, orné de petits grains mous et tendres (= Floculeux). More puis nu. BulbeuxBulbeux : Muni d'un bulbe (extrémité brusquement renflée d'un organe). More à la base (en forme de pomme de pin).

Anneau très haut placé, crémeux et fragile, accolé aux lamesLames : Feuillet situé à la face inférieure du chapeau d'un grand nombre de champignons. More ou appendiculéAppendiculée : Muni de un ou plusieurs appendices. (Anneau) La marge semble ornée d'une frange irrégulière. (Cystide) Le sommet s'étire en une portion étroite, semi-individualisée ou se ramifie en plusieurs prolongements. More.

VolveVolve : Membrane épaisse qui entoure complètement le chapeau et le pied de certains champignons à l'état jeune et qui se déchire irrégulièrement quand le pied s'allonge. More fugace en plaques ou bourrelets superposés.

Rare. Espèce dite thermophile donc aimant la chaleur, on la trouve principalement en été plus fréquemment dans le Sud. Comestible de bonne qualité, trop peu abondante pour être consommée selon certains auteurs. Le risque de confusion avec d’autres amanites blanches causant de graves intoxications souvent mortelles est non négligeable : Amanita virosa, Amanita verna, Amanita phalloides var.alba., bien qu’elles soient toutes beaucoup plus élancées, moins trapues.