De 3 à 15 cm de diamètre. Lisse, parfois recouvert de quelques lambeaux de voile général colorés. Blanc à ivoire. MargeMarge : Concernant le bulbe. Rebord plus ou moins net que présente le bulbe à sa partie supérieure.
Concernant le chapeau. Bord du chapeau du champignon.
Concernant les lames. Bord libre des lames, on dit plus communément arête. More non striéeStriée : Orné de stries, lignes parallèles définies soit par leur teinte, soit par leur gravure en creux. More.

Chair blanche épaisse. Saveur douce et odeur plus ou moins iodée mais vite désagréable.

LamesLames : Feuillet situé à la face inférieure du chapeau d'un grand nombre de champignons. More libresLibres : Concernant les lames. Distante du pied, non soudée à ce dernier. More blanches puis crème rosé.

Blanc. FloconneuxFloconneux : Semé de flocons, orné de petits grains mous et tendres (= Floculeux). More, peu renflé à la base.

Anneau floconneuxFloconneux : Semé de flocons, orné de petits grains mous et tendres (= Floculeux). More, presque membraneux mince, finement striéStriée : Orné de stries, lignes parallèles définies soit par leur teinte, soit par leur gravure en creux. More et blanc.

Ocre, en sac, ample, membraneuse et persistante.

Thermophile. Très proche de Amanite ovoïdeOvoïde : En forme d’œuf, chapeau de la volvaire remarquable ou de la coulemelle, qui sont d’abord ovoïdes avant de s’étaler (en vision spatiale ; c’est un « ovale de révolution »). More, comestible, elle s’en distingue par sa volveVolve : Membrane épaisse qui entoure complètement le chapeau et le pied de certains champignons à l'état jeune et qui se déchire irrégulièrement quand le pied s'allonge. More colorée. Elles poussent dans le même biotope. Il faut être très méfiant. Dans la littérature on peut parfois trouver Amanita proxima décrite comme une variété de Ovoidea. La biologie moléculaire a prouvé que ce sont des espèces distinctes.
Dans les cas où seule une partie du pied a été ramassée, il est difficile, voire impossible de conclure, car le voile général est caractéristique mais parfois absent. La toxicité des champignons à amanitine est suffisante pour éliminer du panier tous les champignons en contact avec ceux-ci.

Proximien : six à vingt quatre heures après ingestion troubles digestifs, insuffisance rénale aiguë 1 à 5 jours après ingestion (médiane 4 j), cytolyse hépatique modérée.

Hospitalisation, traitement symptomatique :
– Rééquilibration hydro électrolytique
– Hémodialyse