Guimauve Officinale (Fleur)

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Fiche :

Nom français :

Guimauve, Guimauve sauvage, Mauve blanche, Bourbon de Saint-Jacques

Noms latins (synonymes) :

Althaea officinalis L. (syn. Malva althaea E.H.L. Krause)

Famille (APG IV) :

Malvaceae

Définition de la drogue :

La partie utilisée de la guimauve est constituée par la fleur séchée d’Althaea officinalis L.¹

Identification macroscopique :

Non renseigné

Astuces de reconnaissance : Fleurs de grande taille à calice vert et tomenteux, corolle jaune crème qui jaunit en vieillissant

Risques de confusion : Arnica (Arnica montana L.), Reine des prés (Filipendula ulmaria (L.) Maxim.)

Odeur : non renseigné

Saveur : non renseigné

Constituants chimiques :

Mucilages (5-11 %) : arabinogalactane, galacturonorhamnane, glucanes ; flavonoïdes (1,4-2,6 %) : tiliroside, hypolaétine-8-gentiobioside, isoscutellaréine ; acides phénols ; scopolétol ; tanins ; minéraux (5-7 %).^1,2

Référentiel qualité :

Minimum 8,0 pour cent de teneur en mucilage, calculée par rapport à la drogue séchée.¹

Usage traditionnel :

Par voie orale dans les douleurs digestives, dans le traitement symptomatique de la constipation (laxatif de lest) et dans le traitement symptomatique de la toux et des maux de gorge.

En gargarisme ou en bain de bouche dans les affections de la cavité buccale et du pharynx ou comme antalgique.

Par voie externe en tant qu’adoucissant et antiprurigineux pour les affections dermatologiques telles que les crevasses, les écorchures, les gerçures ou les piqûres d’insectes.^1,2,3

Précautions d'usage :

Effets indésirables : non renseigné

Contre-indications : non renseigné

Précautions d’emploi : non renseigné

Sources bibliographiques :

¹ Pharmacopée Française, Guimauve (Fleur de). Janvier 1989 : tome 1.

² Fleurentin J. Du bon usage des plantes qui soignent – Edition OUEST-FRANCE 2013, p 264-5.

³ Médicaments à base de plantes, Cahiers de l’Agence, 1998.