Violette (Fleur)

Fiche :

Violette (Fleur)

Nom français :

Violette odorante, violette d’Auvergne, violette des Alpes

Noms latins (synonymes) :

Viola calcarata L. (syn. Mnemion calcaratum (L.) Spach) ; Viola lutea Sessé & Moc. ; Viola odorata L. (syn. Viola odora Neck.; Viola wiedemannii Boiss.)

Famille (APG IV) :

Violaceae

Définition de la drogue :

Fleur séchée de Viola lutea Hudson, dite “violette d’Auvergne”, de Viola calcarata L., dite “violette des Alpes”, ou de Viola odorata L., la violette odorante.¹

Identification macroscopique :

Non renseigné

Astuces de reconnaissance : Fleurs de petite taille de couleur mauve.

Risques de confusion : Mauve (Malva sylvestris L.), Pensée (Viola tricolor L.)

Odeur : non renseigné

Saveur : non renseigné

Constituants chimiques :

Mucilages (18 %) ; pigments anthocyaniques (4 %) : delphinidine ; huile essentielle (0,01 %) : diphénylphtalate, curcumène, zingibérène, dihydro-β-ionone, α-ionone, nonadiènol, octodiènol, eugénol, alcool benzylique, parmone ; flavonoïdes (1,1 %) : rutine ; saponosides; salicylate de méthyle ; vitamine C.^1,2

Référentiel qualité :

Non renseigné

Usage traditionnel :

Par voie locale comme adoucissant et antiprurigineux dans les affections dermatologiques telles que les crevasses, les écorchures, les gerçures ou les piqûres d’insectes. Utilisation par voie orale dans le traitement symptomatique de la toux.^2,3

Précautions d'usage :

Non renseigné

Sources bibliographiques :

¹ Pharmacopée française XX, Violette. Janvier 1997 : tome 2.

² Fleurentin J. Du bon usage des plantes qui soignent – Edition OUEST-FRANCE 2013, p 2801.

³ Médicaments à base de plantes, Cahiers de l’Agence, 1998.